télégramme

Suis reviendue de vacances. STOP. Plein de choses à raconter, plein de choses à montrer. STOP. Merci tout plein angel pour le cadal. STOP.

Voilà cet enculé me fait la gueule et mon blog m'a explosé à la face. STOP. Je suis en train de me réfléchir une nouvelle version, parce que merde alors, quand y'en a marre, y'a malabar. STOP. Ou pas. STOP.

Je vous quiche bien fort. STOP. A bientôt les amis. STOP.



J'en ai marre d'écrire STOP. STOP.

API BEURSDAI LUCIE ON VACATIONS

c'est cliquable (merci Kek)(again)

Plein de bises qui claquent sur les 16 ans de CassioP

by a n g e l

youhou !

A dans 15 jours les amis, moi, là, je me tire au soleil B)

Comme nous approchons à grands pas de mon anniversaire (le 20 juillet oui voilà, c'est bien, je vois que vous être trois et demi à suivre), la jolie Poum Poum a décidé, en tant qu'amie de moi, de m'offrir un cadal. Mais Poum Poum n'est pas une fille tout à fait normale, elle est un peu différente des autres. Un peu marginale. Décalée. Oui bon oké moi aussi, mais c'est pour ça qu'on s'aime. Sta dire, autant des fois, je l'admire pour oh allez soyons fous, son humour, son charme, sa connerie innée (mais inofensive et qui génère par conséquent les dits charme et humour), qualités que nous engloberons sous le terme plus général de Mode // Lumineux de Prescilla //, autant des fois je l'emplâtrerais bien pour cause de vraie connerie intensive excessive et troublante (oui parce qu'autant de connerie dans une seule personne des fois c'est troublant, je vous jure)(muhuhuh Prescilla je t'aime) et que nous appellerons donc Mode // Obscur de Prescilla //.
Manque de bol, lorsqu'il s'agit de célébrer mes 16 ans, chez Prescilla c'est le côté obscur de la force qui s'enclanche (on/off). Je préfère ne pas savoir pourquoi. Ahem.


Alors voilà. Motivée et guillerette, Prescilla se rend par un beau jour ensoleillé à la keufna et m'achète Péplum d'Amélie Nothomb. Oui exactement, c'est aussi rapide que ça, le temps d'une phrase, guère plus ; elle entre dans la fnac, elle vise le rayon littérature française saute sauvagement sur Péplum le baillône et se précipite à la caisse pour payer son dû. Tsing bam en 4min17 l'affaire est dans la poche. Ou en tout cas Péplum. Dans la poche. Le temps d'une phrase, c'est bien ce que je disais.
Bon choix ! me direz-vous, et j'acquiescerais en confirmant qu'effectivement j'ai eu ma période Nothomb il y a peu et que c'est avec grand plaisir que je découvrirais ce roman inconnu pour l'heure de ma bibliothèque personnelle (et qui loge dans ma tête)(la bibliothèque)(oui au début on pourrait croire que ça prend de la place une bibliothèque genre dans une boîte cranienne, mais en fait, non). Et d'ailleurs, si elle ne l'avait pas barbouillé de glace au chocolat et si elle ne m'avait pas révélé sur MSN 30 minutes après l'achat du bouquin le nom et l'identité du cadal, ma foi, ç'aurait été une agréable surprise et elle aurait été remerciée d'une franche accolade (avec un ou deux c, c'est elle qui voit, moi j'ai la flemme de chercher dans un dico) ainsi que d'un bisou qui claque.
Mais bon. C'est Prescilla quoi. Donc no Péplum pour moi, tant pis pour ma gueule, j'avais qu'à être là aussi pour empêcher le drame de la glace choco, merde à la fin. Elle par contre, elle a droit à un nouveau Nothomb dans sa biblio, c'est l'aspect positif du côté obscur, moins pour les autres, plus pour ta pomme, voilà.


Le premier cadal est un échec total ? Et en plus il pue la glace choco ?
Ca n'en est pas assez pour décourager notre championne, car Prescilla n'est pas femme à se laisser abattre aussi facilement ! Afin de prendre sa revanche, elle retourne à la fnac, la rage au ventre et les yeux brillants à la recherche d'un nouveau livre à m'offrir. Qu'elle trouve. Et qu'elle achète.
Hélas, nous ne connaîtrons jamais ni son titre, si le nom de son auteur, chers amis, car son évidente qualité a visiblement séduit Prescilla qui, ma foi, n'a rien trouvé de mieux à faire que de le lire d'un seul bloc et de le garder pour elle.
Vil bouquin, exercer une telle pression psychique sur la jeune fille encore pure et naïve qu'est mon amie, user de tes plus lâches atouts ("lis-moi ! feuillette-moi ! inhale ce doux parfum de livre neuf ! et la senteur de l'encre fraîche ! tâte-moi, fais danser entre tes doigts le papier craquant de mes pages !"), dans le seul but de la pousser à bout et de la forcer à te lire ! Que les portes du Paradis des Livres te soient refusées ! Brûle en enfer, sale livre de mes couilles ! Que sat'.. euh j'..je ? je crois que je m'emporte.
Bref.
Deuxième cadal au cul donc, mais ça n'est pas grave.

Non, bien sûr que ça n'est pas important, je ne vois pas en vertue de quoi je me verrais réclamer des cadeaux auprès de mes amis ? Ils m'aiment pour ce que je suis, et je trouve ça déjà pas si mal quand on connaît un peu l'étrange énergumène que je suis.
Seulement bon, s'ils pouvaient me faire des cadeaux propres et qui me sont destinés (oui c'est plus pratique pour un cadal), ça m'arrangerait quoi.

Mais Prescilla s'acharne, elle tient vraiment à m'offrir un truc, n'importe quoi pour mon annif. Un poil découragée tout de même, ébranlée par cette accumulation d'échecs, elle se résigne et trouve un savant subterfuge : elle m'offrira le cadal de mon choix.

Lorsque je lui apprends que, en réalité, j'en ai rien à fout' du cadal en lui-même, c'est bon, mon beau-père est cadre en suisse, on a de la thune à foison, j'ai tout ce que je veux, que non vraiment c'est le temps que l'Ami a passé à réfléchir à ce qui pourrait me plaire le plus, à flâner dans les rayons, à peser le pour le contre, à sonder ma personnalité, à fouiller dans tous ses souvenirs en ce demandant ce qui pourrait me ravir pour de vrai, c'est tout ça qui me botte vraiment dans l'offrande de cadeaux. Quand je lui annonce cette triste nouvelle donc, elle se liquéfie devant moi, limite, et je me retrouvre au milieu du passage piéton à lui assurer que bien sûûûûr j'accepte tout de même son offre et que bon, allez, viens, on va me le chercher mon cadal.
(sens du sacrifice exacerbé dirait angel)

Je passe sous silence les heures interminables de recherche (ah bah ouais assume poulette hein, je suis chiante en toute chose et à tout moment).

Je ressors donc de cette aventure avec la bédé Valentine (Elle&décoloration) d'Anne je-ne-sais-plus-quoi sous le coude, et ma foi, je suis plutôt ravie que le côté obscur de Prescilla se soit mis en branle puisqu'au final, mouhahaha, j'ai un cadal qui bute.

Et puis Jeanne de son côté m'a offert un génialissime stylo de calligraphie, trop fière je suis bordel de merde (mais là y'a pas d'anecdote rigolote à raconter).


Alors voilà. Merci les filles. Pour vos cadeaux, bien sûr, mais aussi pour vos sourires, vos yeux pétillants, votre joie de vivre, votre amour pour moi ! Merci de me supporter, merci de m'aider à grandir, à regarder le monde d'un oeil plus neuf. Merci d'avoir croisé ma route.

Parce que mon cadeau, en réalité, ce ne sont pas les livres ou autre stylo, mon vrai cadeau, c'est de vous avoir toutes les deux à mes côtés.

Et ça, ça n'a pas de prix.
:)

Journée glande au possible.

Si j'étais une femme surbookée, imaginez, tailleur noir chicos, chemisier blanc, collier de perles, boucles d'oreille assorties, très sobres mais classes, lunettes rectangulaires noires pas fantaisistes mais fun et jeunes tout de même, cheveux coupés courts ébouriffés, le téléphone coincé entre l'oreille et l'épaule, secouant énergiquement Nain II des deux mains pour qu'il recrache la clé USB qui traînait sur la table et qu'il a avalé par mégarde.
Bref. Une femme du XXI siècle, avec ses convictions ses projets sa vie sa famille ses amours ses ennuis ses emmerdes. Et qui n'a pas une minute pour souffler.

Si j'étais cette femme-là, je vous dirais "oh bon SANG, une journée de glandouille à l'état pur, ne rien faire, rester au lit jusque pas d'heure, zapper la case "mise-en-beauté" (je me balade en pyj' à 3h de l'aprèm' je me gratte les fesses nonchalament devant le facteur et je vous emmerde), ne s'occuper que de soi, bouquiner, somnoler, siester, se lover dans son lit chaud alors qu'il pleut dehors, déambuler dans l'appart' (loft de 200m², au moins) une tasse de chocolat chaud à la main et regarder par la fenêtre les gens qui se pressent dans la rue alors qu'on sait qu'on a encore toute la journée pour ne rien faire, dieu que c'est bon. Que c'est bon.."

Mais je ne suis pas cette femme.
Moi, toutes mes journées sont comme ça, hein.

Alors je vous dirai juste :

Journée glande au possible. Si seulement je pouvais rayer le disque et faire que ma vie ne soit que des vacances perpétuelles.
En boucle. Pour toujours...
rhâââ

oiseaux de juin - merci à vous !

Alors hop un petit aperçu des chef-d'oeuvres que mes lecteurs les plus qu'ils m'aiment forts m'ont envoyés (les autres, il n'est pas trop tard pour vous défaire de cette timidité qui vous empêche de M'ENVOYER UN MAIL ----luciechou@yahoo.fr je répète pour ceux qui n'auraient pas suivi---- si vous voulez voir votre nom en lettre de pas or sur mon blog, c'est maintenant ou jamais !)

Merci donc Tirui, Salamandre, Mati, Prescilla (ouais ton entrée dans le monde du blog), J6, merci les amis au moins je sais que je peux compter sur vous :')

snirfl

ahum, les nominés SONT :


















----- et des nouveaux arrivants, ouééé !

Merci angel ..




..et del4yo !




(avec un prix spécial pour del qui m'a fait bien rire avec son oiseau plumé mouahahaha, trop fort !)

Ainsi que Misteur Poney (un jour elle vous racontera)






ouais merci toulmonde quoi (:

Je l'ai je l'ai je l'ai

ma tablette graphique, oui !

Joie dans mon corps (:





---

Sinon un grand grand merci à tous ceux qui m'ont envoyé une copie de leurs piafs, vraiment, ils sont tous extras, je les exposerai ici-même sur mon beulog à moi ce soir (:

et vous pouvez toujours m'en envoyer hein, une petite capture d'écran un mail (luciechou@yahoo.fr) et pour moi de la fierté et un grand plaisir ! si si (:

oiseaux de juin

sur une idée de Del (oiseaux de juintons !)
avec l'aide du merveilleux tuto du merveilleux kek (merci merci merci)

(ah ben en fait j'ai réussi à l'intégrer dans le beulog toute seule didon ! Merci Gougleuh)


ah ouais et puis :